Isis était repartit dans son pays natal elle ne savait pas pourquoi a Neverland elle ne voulait pas y rester du moins, elle voulait sûrement pas rester maintenant, peut-être avait elle besoin de changer d’air ou de voir si dans son pays natal il y avait des survivants. C’est la qu’elle était aller il y a quelques années quittant Neverland, après c’être aperçut que sa terre natale était complètement ravager sûrement par ces humains, elle décida de retrouver son autre pays que cette fois elle avait gouverner et même, enfanter. Elle recherchait quelque chose enfin, il semblait que c’était cela mais, elle-même ne savait plus trop ou elle en était. Pareil, la tout était aussi ravagé, tout en débris il ne restait rien. Sa lui fit mal au cœur et d’un côté sa rage contre les hommes étaient de plus en forte, la soif de vengeance était si intense. N’ayant aucun endroit ou aller, elle décida de retourner a Neverland, elle n’y était pas si mal après tout. Et puis, elle se demander si sa avait changer là-bas ou si les humains avaient tout ravagé la aussi. Ce jour là ou elle entama un long chemin c’était au petit matin, il faisait jour elle était bien loin de Neverland il lui faudrait deux a trois jours pour y arriver.
Armer, de sa grande épée,de son arc et ses flèches, plus quelques couteaux qu’elle avait trouvés et nettoyé, elle entama seule son chemin vers l’ile. De plus ne plus gouverner était affreux, ne plus avoir sa propre armer ne plus se battre alors, qu’elle descendait d’une grande lignées d’elfe noir au sang pur ou elle était princesse. Cela la dégoûta bien ! Mais, il faudrait quand même qu’elle si face. Elle n’avait plus vu d’Elfe ou Elfe noir depuis qu’elle était partit de l’île. Sa lui manquait d’un sens et de l’autre étant habitué a être seule. Elle était habillée toujours avec sa longue robe transparente une tradition dans son pays natal quand les filles étaient les princesses. Elle la portait tout temps, pour les humains ce qui était bien c’est qu’il les attiraient et comme cela elle pouvait ce venger. Oui pendant, ces jours ou elle traversa différence se forêt se battit contre certains, hommes bien qu’ils y en avaient peu. Elle s’était blessée au bras mais, elle n’y prêta pas plus attention. Quand elle arriva a l’île le soleil commença tout juste a ce coucher, elle portait toujours son petit médaillon qui brillait quand le soleil se reflétait sur elle. On pouvait la voir de loin ceci pouvait être un inconvénient mais, pas plus que cela.
Isis commençait a être fatigué sa blessure n’était pas joli même si elle saignait peut et était peu profonde mais, c’était un risque d’être une autre créature que d’être humain, ça n’effraya pas notre belle princesse qui savait qu’elle aurait toujours a ce battre même avec son espèce. Elle était enfin, a Neverland elle ne savait pas exactement ou mais, elle s’enfichait, elle était rester silencieuse depuis longtemps, et n’avait pas rencontré un membre de son espèce. Ce n’était pas une grande bavarde et n’avait besoin de personne en particulier. Elle préfère être seule plutôt que mal a compagniée ça s’était certains. De là ou elle était elle voyait une elfe d’une moins c’est ce qu’elle crut, dans la pénombre ce n’était pas facile surtout si s’était une/un elfe noir…. Quand Isis marcha sur une branche la jeune femme brandit son arme, Isis avait déjà son épée de sortit mais, ne bougea pas et observa avec attention. Elle était épuisé elle n’avait pas vraiment fait de pose entre les combats et les 3 jours de marche. Il ne fallait pas faire n’importe quoi au risque de ce blesser.
Puis doucement, elle sortit de ça « cachette » et regarda la jeune femme toujours dans son « mutisme » un coup d’œil, son visage était froid, la pupille de ses yeux étaient encore plus blanche quand la lune était présente, elle fixa la jeune femme. Son arme en position de protection plutôt d’attaque. Bien qu’elle était une femme, froide et toujours entrain de combattre elle n’en n’avait pas réellement la force. Elle ne dit rien elle attendait de voir si elle allait riposté ou faire quelque chose pour ce protégé ou bien si elle ne ferait rien.